La CGT et FO manifesteront à nouveau pour le pouvoir d’achat ce mardi 19 mars 2019. Des perturbations sont attendues dans les transports, notamment sur le réseau TAG à Grenoble.
Une nouvelle journée de mobilisation pour le pouvoir d’achat se profile ce mardi 19 mars 2019 à l’appel des syndicats CGT et Force Ouvrière. Des perturbations sont notamment attendues dans les transports en commun de l’agglomération de Grenoble.
La TAG, qui gère les transports dans l’agglomération grenobloise, prévient ses usagers ce dimanche dans un tweet : attention aux perturbations engendrées par la nouvelle grève et la manifestation prévues mardi !
⚠ En raison d’un mouvement social national affectant une partie des personnels de SÉMITAG et d’une manifestation à Grenoble, le réseau TAG sera perturbé mardi 19 mars.
Dès lundi, fin de matinée, retrouvez les conditions de circulation par ligne sur https://t.co/3GTJkQdCCe pic.twitter.com/Rs05o6LCxv
— TAG (@TAG_Grenoble) 17 mars 2019
Le niveau de participation à cette journée est encore difficile à prévoir et la TAG n’est pas encore en mesure de prévoir les difficultés pour cette journée de mardi. Elle annoncera les prévisions de circulation détaillées dès lundi, en fin de matinée.
Ces prévisions seront à retrouver sur son site internet à l’adresse tag.fr/infotrafic et par téléphone au : 04 38 70 38 70.
La CGT et FO vont donc se retrouver dans la rue ce mardi lors d’une rare journée commune de manifestations et de grèves, avec l’espoir de reprendre la main et de faire entendre leurs revendications sur le pouvoir d’achat, après quatre mois de “gilets jaunes”.
Solidaires, la FSU et les organisations de jeunesse Unef (étudiants) et UNL (lycéens) ont également appelé à participer à cette mobilisation nationale qui touchera aussi bien le public que le privé afin d'”amplifier le mouvement social”.
Le 5 février, près de 300.000 personnes avaient manifesté dans 200 villes selon les organisateurs, 137.200 d’après le ministère de l’Intérieur. Les cortèges s’étaient formés à l’appel notamment de la CGT, mais aussi avec la participation de “gilets jaunes” qui, jusqu’à présent, avaient regardé les syndicats avec méfiance.
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