En plus de la mobilisation nationale du 5, les préavis couvrent tous les vendredis et samedis à partir du 29 octobre et jusqu’à la fin de l’année. Les syndicats mettent la pression avant des réunions de négociation prévues les 15 et 22 octobre.
Dans un communiqué, une intersyndicale de la SEMITAG (FO, UNSA, CFE-CGC, SOLIDAIRES, CGT) dénonce une dégradation des conditions de travail “en partie causée par la crise sanitaire que nous traversons, mais aussi par la volonté de nos dirigeants à vouloir faire des économies sans véritablement se soucier de nos conditions de vies”. Cette situation a entrainé selon les syndicats “une forte augmentation de l’absentéisme venant accentuer le sous-effectif déjà existant”.
Plusieurs préavis ont été déposés dans la société de transport grenobloise. Le premier concerne la journée de mobilisation nationale lancée cet été par la CGT, le 5 octobre. Ensuite deux réunions de négociation sont prévues avec la direction les 15 et (autour du) 22 octobre. Si ces négociations n’aboutissent pas, prévient l’intersyndicale, elle appellera les agents de la SEMITAG à débrayer tous les vendredis et samedis à partir du 29 octobre et jusqu’à la fin de l’année. Les préavis ont été déposés ce jeudi 16 septembre.
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